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Ce que je pense de l'iPad.

L'iPad est plus qu'une tablette pour moi, c'est même devenu mon ordinateur principal du fait de sa polyvalence et aussi pour sa simplicité d'utilisation. 

Je fais tout dessus. Je joue occasionnellement, effectue du montage vidéo régulièrement, y rédige tous mes papiers, personnels et professionnels, de multiples et diverses tâches, sans me poser la question si j'arriverai à toutes les accomplir.

La practicité de l'iPad me permet de choisir de quelle façon je vais l'utiliser, en mode tablette tout simplement, comme un notebook accroché à son Magic Keyboard, ou plus sérieusement sur mon bureau avec un clavier et une souris, tel un mini iMac.

C'est cette polyvalence que j'adore. 

Parti au commencement sur le modèle 12,9 pouces en gris sidéral, je me suis vite aperçu que ce gabarit ne me convenait pas. Étant plutôt du genre mobile, non pas que je suis toujours en déplacement à l'extérieur, mais j'apprécie me servir de mon iPad dans plusieurs endroits, comme je vous l'ai dit sur mon bureau, également dans le salon sur mon canapé, même parfois dans mon lit. 

Et je ne vous cache pas qu'avec le grand modèle, il y a eu des cas où ce n'était pas très commode. 

Lourd en main à la longue en mode tablette et trop instable sur le Magic Keyboard approprié que j'ai même fini par revendre encore plus rapidement. 

En optant pour ce changement réfléchi, je ne regrette rien. Le 11 pouces est pour moi le format idéal pour une tablette et grâce aux particularités de l'iPad, sa transformation en ordinateur est toujours possible. 

J'ai également racheté le Magic Keyboard dédié pour cette taille plus compact et ce fut également l'occasion de changer de couleur pour ces deux, en adoptant ce mariage idéal du blanc et de l'argent. 

La couleur, c'est une chose mais la taille, une autre qui importe encore plus. 

Je dénigre pas que l'iPad est avant tout une tablette et pour moi le format 11 pouces est la taille parfaite pour cet effet. Agréable en main grâce à sa légèreté, j'apprécie beaucoup plus me servir de cet appareil de cette manière prédestinée.

Avec le Magic Keyboard, c'est également plus pratique et plus sûr. Combien de fois j'ai redouté de la stabilité de l’ensemble avec le 12.9 pouces. Trop peur qu'il chavire et l'usage du tactile ou même du stylet devenait un challenge, obligeant à détacher l'iPad pour le mettre a plat pour ces pratiques. 

En mode mini iMac, c'est vrai que 11 pouces peuvent paraître juste, seulement on a maintenant la possibilité de connecter un second écran plus grand et profiter de la fonction Stage Manager pour ainsi travailler de manière encore plus confortable. 

Pour moi avant l'iPad était plus un objet de distractions, malgré plusieurs essais en utilisation principale, mais avec du recul, beaucoup de réflexion et en observant la grande avancée ces dernières années pour cet objet, je me suis dit que peut être enfin cette tablette deviendrait mon unique ordinateur. 

J'ai franchi le pas depuisdécidé d'abandonner le Mac et de partir sur ce qu'il se faisait de mieux à l'époque en tablette, l'iPad Pro M2. 

Sa puce présageait une puissance accrue, malgré qu'elle soit souvent critiquée par le manque d'applications adaptées, cependant cette erreur de jugement fut gommée avec l'arrivée de propositions enfin à la hauteur, comme Logic Pro pour la musique, Final Cut Pro pour le montage vidéo et bien sûr Davinci Resolve, ma préférée dans ce domaine. 

Cette application a vraiment changé la donne pour moi. Habitué à Lumafusion, le changement fut peu facile mais très bénéfique. 

Beaucoup plus complet, ce logiciel, on peut dire, me permet enfin de réaliser mes projets de la même façon qu'a l'époque ou j'utilisais Final Cut sur Mac, un rêve enfin réalisable. 

De nombreuses personnes continuent de penser que l'iPad est encore limité, qu'il ne remplacera jamais un Mac, et pourtant n'est-ce pas sa destinée, ou du moins proposer une alternative différente dans son usage mais tout aussi efficace et avec simplicité. 

C'est ce que je pense. Steve Jobs le pensait également lorsqu'il présentait pour la première fois l'iPad en affirmant que ce type d'appareil deviendra un objet qu'on ne pourra plus se passer à l'avenir, le futur des ordinateurs en quelques sortes. 

On entre aujourd'hui dans cette ère et une certaine transition participe à son développement petit à petit. 

On a pu observer des changements de design ces dernières années qui est maintenant devenu abouti, une augmentation de puissance jusqu'à emprunter les mêmes puces que les Macs, reste plus qu'aux développeurs de continuer à produire des solutions correspondantes aux capacités de cette tablette. 

Peut être une volonté encore freinée par Apple, pour éviter d'instaurer une confusion entre ces 2 appareils pourtant tellement semblables au final. 

J'espère pourtant encore une chose importante, le seul point pour moi qui demande véritablement une amélioration, l'autonomie. 

C'est encore un peu juste et j'aimerais comme l'ont connu les MacBook avec l'implantation des puces Silicon, constater un gros gap, mais on en est pas encore là. 

Le design est déjà à son paroxysme, la puissance développant plus de chevaux qu'il n'en faut, manque plus qu'une batterie à la hauteur. 

On n'a pas de gros moteur sans gros réservoir non !

Je pense qu'on peut attendre du prochain iPad une nouvelle évolution avec la puce M3, un écran OLED et peut être un design quelque peu modifié, mais je pense aussi que cette progression restera tout de même minime comme chaque année au final et l'upgrade pas forcément nécessaire surtout si l'on vient du modèle précédent.

Comme tout appareil connecté, son achat devient primordial seulement si son utilité est justifié. 

L'iPad, le Pro M2 dans mon cas, a radicalement changé mon opinion sur ce qu'il représente vraiment et je ne me vois plus revenir en arrière, aujourd’hui, en reprenant un Mac. 

Ceux qui utilisent leur tablette de manière exclusive comme je le fais me comprendront. 

Même si beaucoup encore considèrent cet appareil comme secondaire, il est malgré tout révolutionnaire et son évolution toujours inachevée, et viendra le jour où j'en suis sûr, l'iPad deviendra un Mac d'une manière ou d'une autre. 

Ce n'est pas le choix de l'outil qui importe le plus, mais que celui ci nous permet d'atteindre nos objectifs. 


En vidéo, c’est ici

Ce que je pense de l'Apple Watch.

Je n'ai jamais été un grand fan de montres en général. J'en ai eu pourtant quelques unes, des sportives, des plus classiques et même une connectée, une Sony de souvenir, mais je m'en étais vite lassé car celle-ci était plutôt limitée par ses fonctions. 

Depuis quelques temps, je me suis souvent posé la question, pourquoi ne pas essayer un jour une Apple Watch. Et me voilà aujourd'hui avec une au poignet. Il est donc temps de vous dire ce que j'en pense.

Commençons tout d'abord par le modèle que j'ai choisi. Étant ma première Apple Watch et peut être au risque d'être déçu, je ne voulais pas nécessairement y mettre un budget important, genre celui de la Ultra. Je suis donc parti sur la SE2 qui je pense est le meilleur compromis pour un premier achat. 

J’ai opté pour la finition argent avec le bracelet sport de couleur bleu orage. Basique simple et efficace. J'ai aussi préféré la version GPS uniquement et je vous dirai pourquoi. Pour la taille du cadran, le format 40mm m'a conquis. Ayant déjà un poignet de taille moyenne, c'était plus évident, et je voulais pas non plus avoir un deuxième iPhone implanté à mon bras.

Concernant toutes les possibilités offertes par cette montre, j'ai beaucoup apprécié toutes les fonctions qu'elle offre mais surtout leur but. Je m'explique.Pour moi une montre doit rester une montre et lorsque celle-ci est connecté, elle doit devenir une extension de mon smartphone et non pas un objet à part entière. 

Étant dans l'écosystème Apple, voilà comment je vois les choses. J'ai un iPad qui, on le peut dire, est mon ordinateur principal et où j'exécute la majorité de mes tâches. J'ai également un iPhone qui prolonge et complète l'utilisation de ma tablette. Il me permet d'avoir un suivi de celle-ci tout en m'en détachant. Et j'ai maintenant l'Apple Watch qui se complète elle, avec mon iPhone, et m’offre la possibilité de garder un œil rapide sur les principales informations de ma vie numérique, sans plus.

En clair quand je dois rédiger un mail, jouer à un jeu, faire du montage vidéo, bref, des taches qui me demandent d'être posé et concentré, je prends mon iPad. Quand je veux juste répondre vite fait à un mail, passer un coup de fil, envoyer un texto, checker mon Insta ou mon Tiktok, pour résumer des choses plutôt simple et rapide à faire, mon iPhone joue très bien ce rôle. Avec la montre et bien, vous l'aurez compris, j'en fais naturellement encore moins. Un coup d'œil sur l'heure, la date, la météo, régler mon réveil, lancer un minuteur, gérer ma musique et bien sûr, les fonctions utiles liées à mes activités sportives.

Partant de ce raisonnement, l'option cellulaire m'était totalement inutile. Comme je vous l'ai dit, je n'avais pas besoin d'un second iPhone et du coup la taille n'importait également peu. D'où pour moi le terme utilisé d’extension. Ce n'est pas forcément un objet indispensable pour moi mais cela me permet de mieux m'organiser et de dédier a chaque appareil sa fonction.

Vous le savez, aujourd'hui, on est tous un peu addict à nos objets connectés, et par la force des choses parfois, mais si la solution était d'en posséder plusieurs pour justement ne pas être focaliser sur qu'un, et de n'accorder que le temps qu'il faut pour chacun. Vous voyez ou je veux en venir.

Et en réfléchissant de la sorte, je pense que l'Apple Watch peut avoir sa place dans ma vie numérique. Je ne cherche pas à tout faire sur celle-ci, juste le principal du quotidien. Tout comme mes autres appareils, elle a ses propres fonctions.

Beaucoup achètent des objets sans réelles raisons, sans en comprendre leur utilité, alors que le but est qu'ils nous rendent service, et pas au contraire, qu'on en devienne esclave a en perdre tout réflexion. C'est notre cerveau qui nous contrôle et pas des appareils tout type qu'ils soient. Une intelligence artificielle reste et restera artificielle, n'égarons pas la notre.

Pour synthétiser, pour moi l’Apple Watch est un objet technologique pas indispensable mais tellement pratique. Ce dernier devient une parfaite extension de mon iPhone qui lui même était déjà l’extension de mon iPad. L’un me détache de l’autre qui lui même est oublié par un autre, jusqu’à ce que j’estime ravoir le besoin d’inverser le sens de mon utilisation.

De cette manière, je trouve un certain équilibre qui me permet de ne pas me centraliser sur qu’une seule unité, mais plutôt de dissocier chaque exécution de chaque tache sur l’appareil le plus approprié. Possiblement la clé pour être moins connecté. Ce n’est pas votre avis ? 

Vous savez maintenant ce que je pense de l’Apple Watch. Peut-être que vous même hésitez à en acheter une. Peut-être que ma réflexion vous guidera à savoir si cet objet est un besoin ou juste un nouvel objet technologique qui au final vous rendra encore plus dépendant par son assistance.

Faites le pour et le contre et vous saurez dans quelle voie vous diriger.


En vidéo, c’est ici.


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